onsdag den 26. marts 2014

Lundi/ Monday, Mardi/ Tuesday 24-25.03.2014

Coup de téléphone qui me réveille à 7 h, c’est une dame de Norvège qui me demande de donner des références sur une jeune femme qui a travaillé dans mon jardin d’enfants il y a quelques années. Parler norvégien à 7 h du matin après avoir passé deux semaines en parlant espagnol est un peu dur. Je demande à la dame si elle peut rappeler plus tard, mercredi, quand nous serons rentrés, que je suis au Chili. Et surprise, cette dame se met à parler en espagnol! Je lui donne les référence demandées … en espagnol. Cette dame norvégienne inconnue a passé 3 ans en Equateur. Quelle coïncidence (1).
Nous partons tôt pour l’aéroport. Le chauffeur de taxi est un ancien sous-directeur d’une école qui ne supportait plus le stress et le petit salaire de son métier. Il a commencé une petite entreprise de taxi qui marche bien et il ne pense pas retourner à son ancienne profession.
Embarquement sans problème. Je suis à côté d’un jeune homme chilien, Felipe. Nous commençons à parler, il est étudiant en théologie, futur pasteur protestant et va à Buenos Aires pour étudier. Mais, plus surprenant, il a une petite amie … norvégienne de Bergen qui est en Argentine en ce moment! Elle l’attend à l’aéroport à Buenos Aires. Nous lui souhaitons bonne chance et j’écris, en norvégien, un petit mot pour souhaiter bonne chance aussi à Emilie, la jeune fille norvégienne. Quelle coïncidence (2).
Escale de 2 h à Buenos Aires.
Nous nous renvolons et la longue nuit commence. Nous avons les trois places près d’une sortie de secours pour nous deux et c’est agréable d’avoir tant de place. Jens dort un peu mais moi guère. Longue escale à Amsterdam où il fait beau. Jens dort un peu, je vadrouille et fais des sudocus, on se sent un peu ramollis. Et nous repartons pour la dernière étape. Nous arrivons à Bergen sous un soleil radieux et c’est magnifique, le ciel bleu, les montagnes enneigées et les fjords bleus aussi.
Nous retrouvons la maison avec plaisir et le jardin où on voit un timide début de printemps.
Nina est venue hier monter le chauffage et nous a laissé une bonne soupe et du pain fait maison. Sympa.
Et voilà, encore un excellent voyage qui se termine. Merci à tous les amis qui nous ont accueillis avec tant de chaleur et de gentillesse. Merci aussi à Sébastien et Camila de la bonne journée passée ensemble à Valparaiso.  

Phone call at 7 am that awakes me, it is a lady in Norway who asks me to give references about a young woman who worked in my kindergarten there a few years ago. To speak Norwegian at 7 am after spending two weeks speaking Spanish is a bit hard. I ask the lady if she can call me later, on Wednesday, when we are at home, I am in Chile right now. And surprise, this lady starts talking in Spanish! I gave her the references required ... in Spanish. This unknown Norwegian lady spent 3 years in Ecuador. What a coincidence (1).
We leave early for the airport. The taxi driver is a former school sub-director who could not stand the stress and low pay of his job. He started a small taxi company that works well and do not think to go back to his old profession.
Boarding without problem. I am next to a young Chilean, Felipe. We start talking, he is a theology student, future Protestant pastor and goes to Buenos Aires to study more. But more surprisingly, he has a girlfriend who is from Bergen, she is in Argentina right now and is waiting for him at the airport in Buenos Aires. We wish him good luck and I write in Norwegian, a quick note to wish you good luck also to Emilie, the young Norwegian girl. What a coincidence (2).
We have 2 hours in the airport in Buenos Aires.
We fly again and the long night begins. We have three seats near an emergency exit for both of us and it's nice to have so much space. Jens sleep a little but I don’t sleep much. Long stop  in Amsterdam where it is sunny. Jens sleeps a little, I do several sudocus, we feel a little like zombies. And we leave for the last step. We arrive in Bergen in bright sunshine and it is beautiful, blue sky, snowy mountains and blue fjords also.
We find the house with pleasure and garden too where we see that spring is on the way.
Nina came yesterday to turn up the heating and left a good soup and homemade bread. That is nice.
And now, another good journey is finished. Thank you to all our friends who greeted us with such warmth and kindness. Also thank you to Sebastian and Camila for the good day together in Valparaiso.


Notre vol, Santiago
Our flight, Santiago


Jens, Santiago


Notre avion
Our plane


Felipe, Jeannette


Arrivée à Bergen


Bienvenu à la maison
Welcome home

THE END












    

Dimanche/ Sunday 23.03.2014

Après une bonne nuit, nous repartons, cette fois pour aller visiter mon neveu Sébastien et sa « polola » (petite amie)) Camila, à Valparaiso. Nous marchons (25 mn) jusqu’à la station de bus. Il y a des bus tous les quarts d’heure. L’employée nous conseille d’acheter aussi le retour, et effectivement, la plupart des places sont déjà vendues. Nous avons deux places pour le retour, mais pas ensemble. La gare de bus est immense et le bus arrivent et partent sans arrêt.
La route monte, redescend et remonte. Le paysage est sec par endroit et bien cultivé, olives et vignes, à d’autres. J’avoue que je suis aussi d’un œil le film, cette fois l’histoire d’un gars un peu paumé qui doit rapporter « un peu » de marijuana de Mexico. En fait, ce n’est pas un peu mais des kg et des kg, qu’il doit ramener dans un camping car. Il a sa « famille » avec lui, une femme et deux adolescents (encore) qui en fait sont pratiquement des inconnus qu’il embarque dans cette aventure. Très drôle.
Nous arrivons vers midi à Valparaiso, il fait gris, frais et il ya un peu de brouillard. Nous faisons un tour dans un marché aux puces en attendant Sébastien. Ils n’ont pas de voiture mais il a l’usage d’une voiture louée jusqu’à lundi par son travail. Sébastien est professeur à l’université catholique de Valparaiso. Camila est étudiante en biologie marine.
Ils arrivent, grandes embrassades, nous sommes très heureux de faire la connaissance de Camila. Nous décidons de parler espagnol, Camila ne parle pas (encore) français.
Ils nous emmènent à leur appartement, un studio agréable dans une vieille maison bleue. Les maisons de Valparaiso sont colorées et pittoresques.
Nous discutons, échangeons les dernières nouvelles de la famille, comparons l’Argentine et le Chili, le temps passe vite. Nous sortons pour visiter la ville à pied, d’abord le port puis nous montons, montons. Valparaiso est une ville escarpée, découpée par des ravins profonds et extrêmement construite. Certaines maisons sont construites sur des pentes abruptes de terre. Que se passe-t-il s’il pleut?  C’est coloré, contrasté pauvres et riches, moderne et déglingué et nous montons, montons.
Nous allons déjeuner dans un petit restaurant qu’ils connaissent. La patronne les embrasse et me demande si je suis la maman de Sébastien, non juste sa tante. Nous mangeons un plat bien chilien, une sorte de ragoût de haricots, pâtes, courgettes et saucisses. Camila ne prend pas la saucisse, elle est végétarienne. Nous buvons un jus de melon, vert et très bon. Et nous reprenons notre marche le long de la rue Alemaña qui, par sa situation, nous fait penser à notre Fjellvei à Bergen, c'est-à-dire une rue à mi-montagne qui est parallèle à la côte et nous permet d’avoir une belle vue sur le port. Malheureusement, la vue n’est pas claire, le soleil nous manque. Nous empruntons un « ascensor », un de ces petits funiculaires nombreux ici. La pente en est si raide que ce n’est pas loin d’être vertical.
Nous rentrons en fin d’après-midi et appelons Alain par Skype. C’est drôle de parler à mon frère d’ici et en compagnie de Sébastien. On est tous bien content. Puis Sébastien nous montre des photos prises dans les Andes, à plus de 4500 m.
Ils nous reconduisent à la gare de bus, le bus part à 19 h 50.
Nous sommes absolument ravis de cette excellente journée, bien sûr d’avoir visité Valparaiso mais surtout d’avoir passé de si bons moments avec Sébastien et Camila. Ils ont l’air très heureux et nous leur souhaitons beaucoup de bonheur.
La gare de bus est envahie de voyageurs, la plupart rentrant vers Santiago, mais d’autres bus vont vers le sud ou le nord.
Nous ne sommes pas ensemble, il fait nuit, donc … je regarde mon troisième film du week-end!  L’histoire d’un prof qui, pour sauver le poste de son ami prof de musique (menacé de disparaitre par manque de fonds) se lance dans le catch pour gagner de l’argent. Ces trois films, américains bien sûr et sous titrés en espagnol, sont tous dans la même catégorie, distraction, comédies qui finissent bien. Ça y est, j’en ai eu ma dose pour un bout de temps.
La gare de bus de Santiago est si embouteillée que le bus ne peut y rentrer et nous laisse dans une rue proche. D’ailleurs, la plupart des voyageurs sont déjà descendus et ont pris le métro pour terminer leur voyage. Nous rentrons à pied, nous avons marché au moins 4 heures aujourd’hui. Au lit.

After a good night sleep, we are on our way again, this time to visit my nephew Sebastian and his " polola " (girlfriend) Camila in Valparaiso. We walk (25 minutes) to the bus station. There are buses every quarter of an hour. The employee also advises us to buy tickets for the way back, and it is wise, most seats are already sold. We have two seats for the return, but not together. The bus station is huge and the buses arrive and depart all the time.
The road climbs, descends and ascends again. The landscape is dry at certain places and well cultivated with olives and vines at others. I confess that I have also an eye on the film, this time the story of a guy who, to pay some debts, must import a little bit of marijuana from Mexico. In fact, it is not a little but kg and kg  he must bring in a camper. He has his "family" with him, a woman and two teenagers (again) consisting of virtually unknown people he embarks in this adventure. Quite funny.
We arrive at around noon in Valparaiso, it's gray, cool and a little misty. We see a flea market until Sebastian comes. They do not have a car but he has the use of a car leased until Monday by his work car. Sébastien is a professor at the Catholic University of Valparaiso. Camila is a student in marine biology.  
They arrive, big hugs, we are very pleased to make the acquaintance of Camila . We decide to speak Spanish, as Camila does not speak (yet) French.
They take us to their apartment, a cozy studio in an old blue house. Valparaiso houses are colorful and picturesque.
We discuss, share the latest family news, compare Argentina and Chile, time flies. We go to visit the city on foot, first the harbor then we climb, climb. Valparaiso is a steep city, cut by deep ravines and extremely built. Some houses are built on steep slopes of earth. What happens if it rains? It is colorful, contrasted between rich and poor, modern and dilapidated and we climb, climb.
We will have lunch in a small restaurant they know. The lady boss kisses them and wonder if I am Sebastian’s mother, not just his aunt. We eat a dish typically Chilean, a kind of bean stew with pasta, zucchini and sausage. Camila does not sausage, she is vegetarian. We drink melon juice, green and very good. And we continue our walk along the street Alemaña, its location makes us think of our Fjellvei in Bergen, that is to say, a mid-mountain street that runs parallel to the coast and allows us to have a nice view of the harbor. Unfortunately, the view is not clear,  the sun is missing. We take an "ascensor", one of those many small funiculars here. The slope is so steep that it is not far from vertical.
We go to their place again in the late afternoon and call my brother Alain by Skype. It's funny to talk to my brother from here and in the company of Sebastian. We are all very happy. Sebastian then shows photos taken in the Andes, very high, over 4500 m.
Then they take us back to the bus station, the bus leaves at 7:50 pm.
We are absolutely delighted with this excellent day, of course for visiting Valparaiso but especially to have had such a good time with Sebastian and Camila. They look very happy and we wish them much happiness.
The bus station is crowdy by travelers, most returning to Santiago, but other buses go south or north.
We are not together, it's dark, so ... I look at my third film of the weekend! The story of a teacher who, to save the position of his friend, a music teacher (threatened to disappear due to lack of funds) embarks on wrestling to earn money. These three films, American of course and subtitled in Spanish, are all in the same category, pure entertainment, comedy endings happily. That's it, I've had my dose of this kind of films for a while.
The bus station in Santiago is so full that the bus can’t enter it and leaves us in a nearby street. Moreover, most travelers have already left the bus and took the subway to complete their journey. We walk home, we walked at least 4 hours today. To bed.


Brouillard entre Santiago et Valparaiso
Fog between Santiago and Valparaiso


Marché aux puces, Valparaiso
Flea market


Ils habitent au premier étage de cette maison bleue
They are living on the second floor in this blue house


Leur chatte qui s'appelle Chatte
Their cat named Chatte


Dans leur appartement
In their flat


Camila, Sébastien


Toile d'araignée de fils électriques
A spider web of electrical wires


Le port
The harbor


Arrète la télé, vis ta vie
Stop the TV, live your life


Jens, Jeannette, Camila, Sébastien


Sébastien, Camila


Valparaiso peint sur un mur
Valparaiso painted on a wall


C'est raide
It's steep


Maisons à pic
Houses built on a steep slope


Vue sur le port
View on the harbor


Use la cleta
Utilisez le vélo
Use the bike
PS: à San Juan, ils disent bici, ici cleta
Les deux ensemble, cela fait bicicleta
PS: in San Juan, they say bici, here they say cleta
The two together makes bicicleta


Une funambule qui s'entraine
A tightrope walker who is training


Un/an "ascensor"


Le même, vu d'en haut
The same one, seen from above


La gare routière de Valparaiso le dimanche soir
Bus station in Valparaiso a sunday evening


Hibiscus























Samedi/ Saturday 22.03.2014

Nous partons de l’hôtel à 8 h 30 après avoir fait nos adieux à Andrea, Vanesa et Delia, les trois jeunes femmes sympa de l’hôtel. Le chauffeur de taxi est une femme, ce qui est rare à San Juan. Elle conduit prudemment et cela nous convient bien. Le bus, plein, part juste à l’heure. Partant vers le sud, j’ai le soleil en plein sur ma fenêtre et je dois tirer le rideau. Nous n’avons pas les places devant, je ne sais pas pourquoi. Comme je ne peux pas regarder le paysage, qui n’est pas très varié, désert, désert de toute façon,, je regarde le film dans le bus. Je crois qu’il s’appelle La Famille, l’histoire d’une famille de mafiosos (le père, la mère et deux adolescents, tous mafiosos) qui doit venir s’installer dans une petite ville de Normandie. Bien divertissant et le temps passe vite. Le bus nous laisse à l’entrée de l’aéroport de Mendoza. Vol rapide et magnifique au dessus des Andes et arrivée à Santiago en début d’après-midi. Il fait beau et 30 º, une belle journée d’automne pour ici. Nous retournons au même hôtel, le Conde Ansurez, près de la station de métro República. Jens téléphone à notre ami Carlos. Lui et Silvia viennent nous chercher et nous allons déjeuner chez eux. Ils vivent au quatorzième étage d’un immeuble avec une belle vue sur un grand par cet, au fond, les Andes.
Nous mangeons très bien, trop bien: empanadas et pastel de choclo (gateau de maïs), plat très complet de maïs, poulet, œuf et olive. C’est très bon mais très nourrissant. Nous retardons le dessert et allons nous promener dans le parc. Les arbres ont de belles couleurs d’automne.
Nous retrouvons ces bons amis avec plaisir. Carlos a eu des ennuis de santé mais va mieux maintenant. Ses enfants et petits-enfants sont en Norvège, sa fille vit à même à Askøy. Le parc est grand et animé, un dimanche. Nous revenons manger le dessert, leche asada, qui est comme nos œufs au lait. En fin de soirée, nous rentrons à pied, 25 mn de marche par une belle soirée encore chaude. Merci à Carlos et Silvia. Peut-être que la prochaine fois que nous nous verrons sera en Norvège.

We leave the hotel at 8:30 am, said goodbye to Andrea , Vanesa and Delia, the nice ladies at the hotel. The taxi driver is a woman, which is rare in San Juan . She drives carefully and it suits us well. The bus, full, leaves right on time. Heading south, I have the sun right on my window and I have to pull the curtain. We do not have the seats at the front, I do not know why. As I can not look at the scenery, which is not very varied anyway, desert and desert, I watch the movie on the bus. I think it's called The Family, the story of a family of mafiosos (father, mother and two teenagers, all gangster) who must settle in a small town in Normandy in France. It is quite entertaining and time passes quickly. The bus left us at the entrance of Mendoza airport. Fast and beautiful flight over the Andes and we arrive in Santiago early in the afternoon. It is sunny and 30 º, a beautiful fall day here. We return to the same hotel, the Conde Ansurez, near the metro station República. Jens phone to our friend Carlos. He and Silvia come and pick us up and we have lunch at their home. They live on the fourteenth floor of a building with a beautiful view over a large park and back the Andes.
We eat very well, too well: empanadas and pastel de choclo (corn cake), which is a full meal in itself, corn, chicken, egg and olives. This is very good but very nutritious. We delay the dessert and go for a walk in the park. The trees have beautiful fall colors.
We meet these good friends with pleasure. Carlos has had health problems but is better now. His children and grandchildren are in Norway, his daughter lives on Askøy, our island. The park is large and lively, a Sunday afternoon. We return to eat dessert, “leche asada”, which is like our “œufs au lait” (caramel pudding, I suppose). By late evening, we walk back to the hotel a, 25 minutes walk, in the still warm evening. Thank you, Carlos and Silvia. Maybe next time we meet it will be in Norway.


La gare routière, San Juan
Bus station, San Juan


Un système sur les roues des bus et des camions qui 
avertit le chauffeur si le pneu se dégonfle
A system on bus and trucks wheels wich informs
the driver if the tire becomes flat


La désert et de l'eau. Ce n'est pas normal.
Desert and water. This is unusual


Près de Mendoza
Near Mendoza


Nous arrivons à pied à l'aéroport, Mendoza
We are walking to the airport, Mendoza


Les/the Andes


Vue de chez Carlos et Silvia
Vew from Carlos and Silvia's flat


Carlos, Jens


Silvia, Jeannette, Carlos



















fredag den 21. marts 2014

Vendredi/ Friday 21.03.2014

Dernier jour ici.
Je reste à l’hôtel, lis les nouvelles et écris le blog.
C’est aujourd’hui qu’on va faire un « asado » (barbecue).
Vers 11 h 30, Marcelo P. arrive et commence le feu. Nous discutons un peu et je vais faire quelques courses à pied à la fruiterie du coin. Je dois faire une salade verte. Jens reviens vers 13 h. Vanessa, une des dames de l’hôtel, nous prête de la vaisselle, des nappes etc. Elle prépare aussi du café qui reste au chaud dans une thermos.
Les collègues de Jens arrivent peu après. Le grill est près. Nous sommes 12, Rodolfo et Olga ne peuvent pas venir.
Très bonne viande, seulement de porc, saucisses et boudin accompagnés de plusieurs salades. Repas très sympathique, ces collègues de San Juan sont de vrais amis. De la glace, du café et un petit verre pour ceux qui veulent terminent le repas. Il fait beau, tout le monde est content d’être encore ensemble mais bientôt il faut se dire au revoir. Merci à tous pour cette bonne "despedida". Reviendrons-nous ? ¿ Quien sabe ? 
Il est 19 h, tout est rangé et lavé (grâce à Vanessa). Jens et moi, nous nous baignons, mais c’est court, il fait du vent.
Nous allons faire nos bagages, diner très légèrement et nous coucher. Nous prenons le bus demain à 8 h 30 pour Mendoza.
Encore un très bon séjour à San Juan qui se termine.

Our last day here.
I stay at the hotel, read the news and write the blog.
It is today that we are going to have an "asado" (barbecue).
At 11:30 am, Marcelo P. arrives and starts the fire. We chat a bit and I'll do some shopping walking to the corner greengrocer. I prepare a green salad. Jens is back at 1:00 pm. Vanessa, one of the ladies of the hotel, prepares dishes, tablecloths etc. She also makes coffee in a thermos.
Jens’ colleagues arrive shortly after. The meat is ready. We are 12, Rodolfo and Olga couldn’t come.
Very good meat, just pork, sausages and blood sausages, accompanied by several salads. Very nice meal, these colleagues of San Juan are true friends. Ice cream, coffee and a little glass for those who want it end the meal. It's nice, everyone is happy to be together but soon we must say goodbye. Thank you to all our friends for this good "despedida". Would we come back? ¿ Quien sabe ?
It is 7 pm, everything is tidy and washed (thank toVanessa). Jens and I, we swim, but just a few minutes, it is windy and colder now.
We are going to pack our luggage, a light dinner and go to bed. We take the bus tomorrow at 8: 30 am to Mendoza.

Another very good stay in San Juan is ending.


Marcelo M, Marcelo P


La tablée
Around the table


La tablée
Around the table


Horacio, Ines, Gerardo, Yésica, jens


Maria Teresa, Marcelo P, Marcelo M, un couple d'étudiants et leur fils


Horacio, Ines, Marcelo M, Marcelo P, Maria Teresa, Jens Jeannette, 
le couple d'étudiants, Gerardo, Yésica.
Et le petit garçon derrière
And the little boy behind










Jeudi/ Thursday 20.03.2014

Le grand beau temps est de retour.
Je vais, en faisant des tours et des détours, au centre pour trouver un « regalito » (un petit cadeau) pour Theo. De mon vélo, sans m’arrêter, je fais des photos de rues, des larges, des moins larges, des fréquentées, des moins fréquentées … Je ne vais pas dans les quartiers pauvres, un peu à l’écart mais je sais qu’il y a des rues beaucoup moins jolies que celles que je montre.
Dans le journal, aujourd’hui, un accord entre le personnel enseignant de l’université et le gouvernement de la province de San Juan est en vue. Les enseignants sont en grève pour une semaine. Le gouvernement est prêt à leur accorder une augmentation de … 30 %. Le problème est que le gouvernement veut donner cette augmentation en deux fois. Les enseignants savent que l’inflation est galopante et que la deuxième partie de l’augmentation aura perdu une grande part de sa valeur dans quelques mois. Les prix, par exemple, ont augmenté de 3,5 % au mois de février. 3,5 % en un mois, cela veut dire 42 % en un an.
Cristina, la présidente argentine est en visite en France.
Pour moi, même emploi du temps qu’hier: courses, lunch, journal (et sieste) et blog.
Nous nous baignons rapidement, Jens et moi, puis je prépare le diner, nous avons Marcelo M., Fabiana et leur plus jeune fille Pilar, 8 ans. Je sais que Marcelo aime les lentilles, donc la salade sera de lentilles, tomates, avocats. Sinon, même menu.
Jens met la table dehors et parle un peu avec deux hommes qui sont à l’hôtel. L’un deux demande à Jens s’il a des dollars. Non, nous n’en avons pas. Cet homme raconte qu’ils sont du sud, sont en vacances ici à San Juan, ont 4000 dollars et vont aller jouer au casino. Ils ont leur famille avec eux et paraissent gitans, surtout les femmes qui sont en longues robes colorées.
Marcelo, Fabiana et Pilar viennent à 8 h et nous passons encore une très bonne soirée. Pilar trouve des jeux sur mon laptop et joue un peu à la fin du diner. Il fait beau et on n’a pas besoin de mettre un pull.

The beautiful weather is back.
I ride to downtown, doing twists and turns, to find a "regalito" (a small gift) for Theo. From my bike, without stopping, I take photos of streets in San Juan, wide, less wide, with a lot of traffic or less traffic ... I don’t go in poor neighborhoods, a little off but I know that there are streets much less pretty than I show.
In the newspaper today an agreement between the teaching staff and the Government of the Province of San Juan is in sight. Teachers are on strike for a week. The government is ready to grant them an increase of ... 30 %. The problem is that the government wants to increase in two steps. Teachers know that inflation is rampant and the second part of the increase will have lost much of its value in a few months. Prices, for example, have increased by 3.5% in February. 3.5% in a month, that means 42% in one year.
Cristina, the Argentine president is visiting France.
For me, same timetable as yesterday: shopping, lunch, newspaper (and nap) and blog.
We bathe quickly, Jens and me, then I prepare dinner, we have tonight Marcelo M., Fabiana and their youngest daughter Pilar, 8 years. I know Marcelo loves lentils, so the salad will be lentils, tomatoes and avocados. Otherwise, same menu.
Jens set up the table outside and talks a bit with two men who are at the hotel. One of them asks if Jens has dollars. No, we don’t. This man says they are from the south, are on vacation here in San Juan, and has 4000 dollars so they can play at the casino. They have their families with them and seem gypsies, especially the women who are in long colorful dresses.
Marcelo, Fabiana and Pilar come at 8 pm and we have a great evening. Pilar finds games on my laptop and plays a bit at the end of dinner. It's nice outside and we don’t need to put on a sweater.


Bel arbre en fleurs
A beautiful tree in bloom


Une fleur tombée de l'arbre
A flower fallen from the tree


Rue
Street


Rue
Street


Rue
Street


Rue
Street


L'alliance française
French culture center


Rue
Street


Rue
Street


Rue
Street


Une boutique dans une galerie marchande qui fait 
1 m x 2 m à peu près
A shop in a shopping arcade which measures
approximately 1 m x 2 m


Une rue piétonne
A pedestrian street


Rue
Street


Nom de rue avec sens de la circulation, orientation (o, oeste/ouest)
et numéro des maisons (200-300)
Street name with the direction of circulation, orientation (o, oeste/west)
and house numbers (200-300)


Fleurs sur un trottoir
Flowers on a sidewalk


Jeannette, Pilar, Marcelo, Fabiana, Jens


Corbeille
Basket